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Pour Wallis-et-Futuna

Consultez le site de Wallis 1ère, les reportages sont postés quotidiennement et vous pouvez revoir le journal télévisé de la veille si vous l’avez loupé! La page Facebook de Wallis 1ère est consultable à cette adresse.

Pour Wallis et Futuna

  • Diplômes, relevés de note ou attestations de réussite
    by Magali Savidan, pelelina tialetagi on 12 juin 2025 at 22h40

    Le service des examens et concours informe les familles que toute demande de documents d'examens (diplômes, relevés de notes, attestation de réussite) devra être formulée en remplissant le formulaire voir en page de garde dans la rubrique "formulaires à remplir", avec copie de la pièce d'identité. Il est rappelé aux élèves et leurs familles que les documents d'examens restent disponibles au service des examens et concours et leur seront remis UNIQUEMENT sur présentation d'une pièce d'identité. Si vous souhaitez obtenir une attestation de réussite de diplôme, vous pouvez vous rendre également sur la plateforme du ministère de l'éducation nationale : https://diplome.gouv.fr Toutes les informations sont sur le document "Pour obtenir une attestation de réussite", voir document en annexe.

  • Calendrier CAP 2025
    by pelelina tialetagi on 12 juin 2025 at 22h26
  • Calendrier DNB 2025
    by pelelina tialetagi on 12 juin 2025 at 22h26
  • Calendrier CFG 2025
    by pelelina tialetagi on 12 juin 2025 at 22h23
  • Calendrier BCP 2025
    by pelelina tialetagi on 11 juin 2025 at 22h20

Pour le Pacifique, l’Outre-mer

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  • Clôture du projet PROTEGE : des résultats concrets pour la Nouvelle-Calédonie
    by Lucile COURTOT on 1 juillet 2025 at 5h00

    Le projet régional océanien des territoires pour la gestion durable des écosystèmes (PROTEGE), financé par l’Union européenne à hauteur de 36 millions d’euros et mis en œuvre par la Communauté du Pacifique (CPS) et le Programme régional océanien de l’environnement (PROE), s’est officiellement achevé le 31 décembre 2024.  PROTEGE est une initiative de coopération régionale visant à promouvoir un développement économique durable et résilient face au changement climatique dans les pays et territoires d’Outre-Mer européens du Pacifique (PTOM) : Nouvelle-Calédonie, Polynésie française, Wallis-et-Futuna et Pitcairn. Objectifs du projet PROTEGE s’articule autour de deux objectifs principaux : Renforcer la durabilité, l’adaptation au changement climatique et l’autonomie des principales filières du secteur primaire ; Préserver la biodiversité et les ressources naturelles renouvelables pour assurer la sécurité des services écosystémiques. Une dynamique concrète en Nouvelle-Calédonie Durant ses six années de mise en œuvre, PROTEGE a permis de renforcer les capacités locales, de mobiliser les acteurs du territoire et de mettre en place des solutions durables et adaptées au contexte calédonien. Parmi les résultats marquants : Agriculture : accompagnement des agriculteurs vers des pratiques agroécologiques et création d’un réseau régional de fermes de démonstration en agroécologie, mobilisation importante des différents partenaires professionnels (provinces, organisations professionnelles, acteurs privés). Eau : mise en place d’une plateforme informatique de gestion des données liées à l’hydrologie qui a pour ambition d’être étendue à la région, restauration de bassins versants de Houaïlou, de Touho et de Dumbéa, soutien à la politique de l’eau partagée. Espèces envahissantes : régulation des espèces envahissantes (cerfs, cochons) dans les zones prioritaires d’accès délicat avec la collaboration des tribus et autorités coutumières, formation des 25 premiers opérateurs de régulation professionnel, formations à la régulation, la sécurité de la chasse et au piégeage dispensées sur Lifou, Maré et la Grande Terre. Pêche et aquaculture : création de l’observatoire des pêches côtières, adoption d’un cadre stratégique pays par pêcheries et filières, outils de mutualisation des données et diagnostics communs. L’ensemble de ces actions a été mené en collaboration avec des partenaires locaux — provinces, autorités coutumières, associations, experts techniques — et coordonné par les chefs de file thématiques pour la Nouvelle-Calédonie (la direction des Affaires vétérinaires, alimentaires et rurales, la Chambre d’agriculture et de la pêche, l’ADECAL Technopole, et l’Agence néo-calédonienne pour la biodiversité).

  • 1,2 milliard de francs pour le fonds de co-investissement « Territoires d’Innovation Nouvelle-Calédonie »
    by Lucile COURTOT on 26 juin 2025 at 21h37

    La Nouvelle-Calédonie reconnue pour son potentiel d’innovation Depuis 2019, la Nouvelle-Calédonie a été labellisée « Territoire d’innovation » (la seule en outre-mer). Cette action du programme national France 2030 a pour ambition d’accompagner des territoires exemplaires dans la mise en œuvre de modèles de développement durables, innovants, réplicables et à fort impact. À ce titre, il a obtenu une enveloppe de 5 980 742 euros (plus de 700 millions de francs) de subventions, destinée à accompagner la transformation du territoire par l’innovation, en s’appuyant sur la richesse et la préservation de sa biodiversité. Cette somme a déjà permis de financer une vingtaine d’entreprises et de projets pilotes dans des domaines variés tels que la transition énergétique, la valorisation du capital naturel, la technologie au service de la préservation environnementale, ou encore l’adaptation aux effets du changement climatique. Les crédits encore disponibles sur cette enveloppe feront l’objet d’un nouvel appel à manifestation d’intérêt en 2025, afin d’identifier et d’accompagner de nouveaux projets innovants en phase d’amorçage. Un fonds de co-investissement pour accompagner les entreprises En complément de cette enveloppe, un fonds de co-investissement de 10 millions d’euros (environ 1,2 milliard de francs) est créé. Il comprend : 5 millions d’euros apportés par la Banque des Territoires pour le compte de l’État, dans le cadre du programme France 2030 ; 5 millions d’euros mobilisés via de l’investissement privé local, grâce à la plateforme Invest In Pacific. Ce fonds est destiné à accompagner en fonds propres les entreprises innovantes calédoniennes œuvrant notamment dans les secteurs de la BlueTech, de la GreenTech ou de la BioTech. « Le lancement de ce fonds est l’aboutissement de plusieurs années de négociations visant à mettre en place un partenariat public-privé, en identifiant des partenaires privés capables de nous accompagner durablement dans ce programme, a indiqué Petelo Sao, membre du gouvernement chargé de l’innovation. Cela prouve que la Nouvelle-Calédonie est capable d’être un leader dans le domaine de l’innovation et le gouvernement en est pleinement conscient puisque nous venons d’adopter la stratégie pays de l’innovation, qui nous permettra de faire de ce secteur un réel levier de développement.     La gouvernance du fonds repose sur une coopération étroite entre : le gouvernement, garant de l’alignement des projets avec les objectifs politiques et environnementaux du territoire ; la Banque des territoires, opérateur de l’État ; Invest In Pacific, partenaire technique en charge de l’identification, de l’analyse et de la structuration des projets. « Grâce à ce partenariat nous allons pouvoir lever des fonds publics et privés pour accompagner des projets en lien avec une économie, plus résiliente, plus verte, plus bleue et nous espérons de plus mettre en avant le savoir-faire calédonien dans ces domaines, a précisé Jérémie Katidjo Monnier, membre du gouvernement chargé de la transition écologique, du développement durable, de la biodiversité et de la gestion et de la valorisation du Parc naturel de la mer de Corail. Notre objectif sera désormais de trouver des projets qui répondent, à la fois à des critères financiers de sécurité et de sérieux, mais aussi aux exigences des politiques publiques de la Nouvelle-Calédonie en terme d’innovation, de protection de la biodiversité, ou même d’autonomie alimentaire ».

  • Des prix modérés pour plus d’une centaine de produits de première nécessité ou de consommation courante
    by Lucile COURTOT on 26 juin 2025 at 4h33

    La crise sans précédent qui touche la Nouvelle-Calédonie depuis les événements de mai 2024 a fortement affecté le pouvoir d’achat des consommateurs calédoniens et notamment celui des ménages les plus modestes. À cela se sont ajoutées de nombreuses pertes d’emplois qui ont généré ou accentué certaines situations de précarité. Afin de redonner du pouvoir à l’ensemble des Calédoniens et ainsi soutenir la consommation des ménages, un des leviers les plus importants de la croissance économique, le gouvernement s’est engagé au travers de l’accord-cadre signé le 12 mai 2025, à instaurer un nouvel accord interprofessionnel de modération des prix en 2025. Une démarche volontariste Les représentants des industries locales de transformation, de l’importation, de la grande distribution et des petits commerces, ont ainsi répondu à la demande du gouvernement en s’engageant au travers d’un accord interprofessionnel. Cette démarche volontariste prévoit de fixer des coefficients de marge maximums ou des prix de vente maximums aux consommateurs pour une liste de produits de consommation courante ou de première nécessité (liste disponible ci-dessous), à savoir : 120 produits pour les enseignes dont la surface commerciale est supérieure ou égale à 2 500 m² ; 70 produits pour les enseignes dont la surface commerciale est comprise entre 500 m² et 2 499 m² ; 30 produits pour les enseignes dont la surface commerciale est inférieure à 500 m² (hors groupes et réseaux). « Il s’agit d’un effort majeur de la part des représentants des importateurs, de la distribution, des commerçants et des industriels, a indiqué Christopher Gygès. Ces efforts ne sont pas consentis sur des produits choisis au hasard, mais sur les produits les plus consommés par les Calédoniens ». Des engagements à suivre Avec cet accord, les fournisseurs (industriels locaux et importateurs / grossistes) s’engagent à diminuer les prix de vente des produits listés à leurs clients (grandes et moyennes surfaces et commerces à dominante alimentaire y compris les stations-service). L’ensemble des acteurs concernés s’engagent également à répercuter « au franc le franc » les diminutions de prix de revient des produits concernés par l’accord sur leurs prix de vente, notamment les diminutions ou exonérations de droits et taxes à l’importation. Ils doivent de plus assurer aux consommateurs la disponibilité des produits listés par l’accord. En cas de rupture de stock, les fournisseurs et les distributeurs devront proposer un produit équivalent. L’application de l’accord sera vérifiée par la direction des Affaires économiques (DAE) de la Nouvelle-Calédonie. « Cet accord est complémentaire des mesures que l’on envisage pour la baisse des droits de douanes et des taxes sur les produits de première nécessité, a ajouté le membre du gouvernement. En parallèle, le gouvernement continue également à travailler sur le retour à l’emploi des Calédoniens, pour leur permettre de pouvoir consommer et de s’en sortir à la fin du mois. »   Les signataires de l’accord Le syndicat des importateurs et distributeur de Nouvelle-Calédonie (SIDNC) ; Le syndicat des commerçants de Nouvelle-Calédonie ; La fédération des entreprises et industries de Nouvelle-Calédonie (FEINC) ; Le groupe SCIE Distribution ; Le groupement professionnel des gérants de stations-service de Nouvelle-Calédonie (GPGSSNC) ; Le groupe Carrefour Kenu-in.

  • Semaine nationale de l'identification du 16 au 22 juin
    by Lucile COURTOT on 16 juin 2025 at 1h08

    Pourquoi identifier son animal ? L'identification est cruciale pour les chiens et les chats, car elle constitue le seul lien officiel entre un animal et son propriétaire et elle suivra l’animal tout au long de sa vie. Elle permet non seulement de retrouver plus facilement un animal perdu, mais joue également un rôle dans la prévention du vol et des trafics d’animaux. Pour rappel, l’identification sera bientôt obligatoire en Nouvelle-Calédonie. Comment s’engager durant cette semaine ? Que vous soyez un particulier ou un professionnel, chacun peut agir pour promouvoir l’identification des chiens et des chats. Voici comment contribuer à la sensibilisation autour de vous : Pour les particuliers Parlez-en autour de vous ; Partagez nos publications sur vos réseaux sociaux ; Faites identifier votre animal s'il ne l'est pas déjà; Parlez-en avec votre vétérinaire. Pour les professionnels du secteur animalier : Parlez-en à vos clients ; Affichez les affiches de la campagne dans vos établissements ; Relayez nos publications sur vos réseaux ou sur vos sites internet.    Chaque geste et l'implication de tous les acteurs concernés comptent pour faire de cette semaine un moment fort de mobilisation en faveur du bien-être animal. Pour le protéger, faites-le identifier !  Pour plus d'informations, consulter la FAQ ci-dessous.

  • Onze lycées reçoivent des distributeurs de serviettes hygiéniques
    by Lucile COURTOT on 4 juin 2025 at 3h56

    Les étapes clés du projet En 2022, sous l’impulsion d’Isabelle Champmoreau et dans le cadre de l’opération « Changeons les règles », en partenariat avec le vice-rectorat, un projet de création de distributeur de protections hygiéniques a été proposé aux élèves et aux professeurs de différentes filières du lycée polyvalent Jules-Garnier. Dans le cadre de leur programme d’enseignement, les élèves ont ainsi développé un concept de distributeur de serviettes hygiéniques inédit. Depuis son lancement, ce projet a mobilisé des élèves de niveaux et de sections différents, qui se sont impliqués dans l’étude de faisabilité, la modélisation, la fabrication, le design et la valorisation de ce produit unique.   En 2023, après de nombreux essais et une mise en situation au sein du lycée, le prototype a pu être amélioré puis finalement validé. Le gouvernement a alors octroyé une subvention d’un million de francs au lycée Jules-Garnier pour la production de onze exemplaires qui sont aujourd’hui livrés aux établissements publics et privés suivant : Le lycée polyvalent Jules-Garnier (Nouméa) ; Le lycée Blaise-Pascal (Nouméa) ; Le lycée Do Kamo (Nouméa) ; Le lycée commercial et hôtelier Auguste-Escoffier (Nouméa) ;  Le lycée polyvalent du Mont-Dore ; Le lycée Dick-Ukeiwë (Dumbéa) ; Le lycée Apollinaire-Anova (Païta) ; Le lycée professionnel Père-Guéneau (Bourail) ; Le lycée polyvalent Michel-Rocard (Pouembout) ; Le lycée professionnel Augustin-Ty (Touho) ; Le lycée professionnel et hôtelier Saint-Jean 23.   Un travail collectif au service de l’intérêt général Ce projet a pu se concrétiser grâce à une étroite collaboration entre les élèves des différentes filières du lycée Jules-Garnier : le CAP réalisations industrielles et chaudronnerie (RIC) pour la fabrication ; le bac technologique chaudronnerie pour la fabrication ; le bac technologique sciences et technologies de l'industrie et du développement durable (STI2D) pour la modélisation ; le bac technologique sciences et technologies du design et des arts appliqués (STI2A) pour le design et la décoration ; le BTS technico-commercial conseil et commercialisation de solutions techniques (CCST) pour la valorisation commerciale.   Une mise en situation grandeur nature aura permis à chacun d’apporter sa pierre à l’édifice et de mettre à profit leurs compétences spécifiques pour concevoir un produit dans un cadre professionnel.   Ainsi, au-delà de l’aspect technique et pédagogique du projet, ce travail collectif a permis de rapprocher les élèves, d’ouvrir leur esprit à la cause de la précarité menstruelle et de valoriser leurs compétences en participant à un projet d’intérêt public. « Cela a permis aux professeurs et aux différents intervenants d’aborder avec les élèves des sujets parfois difficiles à évoquer comme la contraception, les menstruations, le droit à se sentir bien dans son corps, a indiqué Isabelle Champmoreau. Aujourd’hui, nous avons vu des garçons expliquer à d’autres camarades comment fonctionnait le cycle menstruel. Les élèves se sont appropriés le sujet et c’est le réel objectif de ce type de programmes ».   Le distributeur : aspect et fonctionnement Ce dispositif autonome ne nécessite aucun branchement ce qui lui permet d’être installé n’importe où dans les établissements scolaires. Une fois installé, le fonctionnement est simple. Il suffit aux élèves de se procurer un jeton auprès de l’infirmière de l’établissement et de récupérer les serviettes périodiques dans le distributeur qui sera positionné dans un endroit à la fois accessible et discret pour faciliter son usage sans gêne. Son design donne au dispositif une identité visuelle moderne et attractive. Le distributeur peut contenir jusqu’à soixante protections hygiéniques (serviettes) et peut être rechargé facilement.

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